Samedi 09 Décembre 2006

Ils ne comptent pas ?

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La Gazette A.R.M.A.N. du SAMEDI 9 DECEMBRE 2006

ILS NE COMPTENT PAS ?
english text after the french one

Nous venons de prendre connaissance de la position historicalisée de la deuxième épouse de notre père à notre endroit par voie de presse.
NICE-MATIN nous informe du souhait, de toujours parait-il, de rentrer dans une négociation autour de la succession ARMAN.
C'est une bonne nouvelle et c'est ce qu'on appelle un "scoop".
La logique à porter le message dans le lieu public présage de la plus grande transparence: il y a beaucoup de témoins.
Nous y répondons plus modestement dans ce blog par souci de perpétuer notre choix: la clarté de nos positions n'arrive pas d'aujourd'hui mais se décline depuis des mois pour pallier à la désinformation permanente subie des différentes rumeurs répandues continuellement pour noyer le poisson.
Économisons l'indiscutable: nous avons appris à nager tôt pour cause du début des premiers pas au bord de la "Grande Bleue".
la vie
(Arman et son troisième fils Yves César Arman)
Une fois passée la surprise de la bonne nouvelle (il faut voir quand même à quelle sauce nous devrons être négociés?), reste le déni qui persiste: ce ne sont pas seulement les enfants du premier lit qui contestent la validité des documents présentés à valeur des dernières volontés d'ARMAN.
Pour commencer par cette descendance de l'origine, il ne faudrait pas oublier qu'il y a TROIS enfants : à savoir pas seulement Anne et moi-même mais aussi Yves.
C'est déjà terrible qu'il ne soit plus là mais MADISON, sa fille, elle, existe bien complètement en lieu et titre de son père (Yves, ne te tracasses pas, on ne laissera pas te faire disparaître jusque là: c'est un sujet "sensible" que cette détermination à chercher à nous effacer de la surface du globe...)

Hormis les trois enfants de la première épouse, il ne faudrait pas oublier non plus le troisième fils d'ARMAN, celui de la troisième mère: YVES encore, pour faire l'inoubliable du nom.

Certes les aînées font phare à la pérennité de la filiation.
Certes, le reste de la filiation a l'âge de nos enfants.
Justement, nous savons donc bien ce que c'est qu'être mère.
C'est comme le choc esthétique quand on y est passé: on ne pense plus, on ne fait plus, on ne dit plus, on ne respire plus de la même façon.
L'inoubliable de l'expérience fait mémoire au rappel qu'on ne compte plus pareil: on apprend à aller plus loin qu'à UN.
Et là, sans se tromper, cela fait déjà QUATRE.
ARMAN est allé plus loin encore pour ouvrir ses deux mains et compter SIX ENFANTS à ne pas sombrer dans l'oubli.

Reste une interrogation soulevée dans l'article qui concerne notre "... attitude alors que nos avocats étaient d'accord pour parvenir à une entente?".
Voici là un deuxième "scoop"!
Devant la profondeur du désaccord qui nous oppose, on ne voit pas très bien de quoi il peut bien s'agir?
Une "signature" possible évoquée doit en référer à celle qui aurait dû advenir ce 31 Octobre dernier?
Date butoir à la succession française où pour faire vite et répondre à l'exigence de la réserve à laquelle je suis tenue de rester discrète quant aux mouvements qui concernent les "actes" assermentés, il se serait agi de signer sans lire...
En la circonstance, on a pas même les huit jours accordés par ailleurs: pour pouvoir se dédire...
Drôle de procédé me direz vous. Ce doit être celui d'us et d'habitude à procéder vu ce que nous avons retracé de l'établissement outre Atlantique des documents à présider à notre destin.
Alors je me demande si "le rendez-vous pour s'entendre" évoqué dans l'article de NICE-MATIN en réfère à ce jour là? Puisque je ne vois pas d'autres occasions.
Et serait-ce la manière prévue unilatéralement d'entrer dans une transaction?
L'interpellation qui m'est faite du devoir de réserve permet de garder l'élégance qu'ARMAN aimait dans le rapport humain. L'étalage du rapport de force qui tente de persister par contrainte, à notre corps défendant, en manque cruellement.
la vie
(Yves Arman et sa fille Madison Arman)
Mais tout va se ressaisir, puisque la conciliation est historiquelement annoncée?
La technologie impose: on n'a plus besoin d'apprendre à compter sur ses doigts, le boulier à ajuster les comptes n'est plus de mise et aujourd'hui les touches de l'ordinateur font magie du résultat.
Donc dans l'ordre chronologique: Marion + Anne + Madison + Yves = QUATRE.
A vos marques: il n'y a pas seulement deux vilaines qui veulent faire la peau à la marâtre. Notre histoire n'est pas un conte de fée.
Juste un compte de faits : nous sommes QUATRE à refuser de croire qu'ARMAN ne savait plus compter.


A samedi prochain.


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A.R.M.A.N. Gazette SATURDAY DECEMBER 9th 2006

THEY DO NOT COUNT?

We have just taken note of the position of the second wife of our father towards us by way of the press.
NICE-MATIN informs us of the wish of always, as it appears, to enter into negotiation concerning ARMAN succession.
It was a good news and what we could call a “scoop”.
The logic in carrying this message to the public place predicts a greater transparency: there are many witnesses.
We'll reply more modestly in this blog with the concern of perpetuating our choice: the clarity of our position has not arrived as of today, it has been known for months as a necessity to mitigate the chronic misinformation from various rumours continuously spread to try to "drown the fish".
Let us save the indisputable fact: we learned how to swim early due to our beginning from first paces by the side of “the Large Blue one”.
la vie
(Arman and his third son Yves César Arman)
Once the surprise of the good news has passed (one must wait and see with which sauce we will have to be "negotiated"?), there remains the persisting refusal: there are not only my sister and I from the first marriage who challenge the validity of the documents presented as the last will of ARMAN.
To start with this first original lineage one should not forget that we were THREE children: namely not only Anne and myself but also Yves. It is bad enough as it is that Yves is no longer with us but MADISON, his daughter, she exists completely and totally in place and title of her father (Yves, don't worry, we will not allow to make you disappear to this extent: it is a “sensitive” point this determination in trying to erase us from the surface of earth…)

Except from the three children from the first wife, one must not forget either the third son of ARMAN, from the third mother: YVES again, to make the name unforgettable.

Admittedly the elder ones show the way to the continuity of Arman's filiation.
Admittedly, the rest of the filiation is the same age as our children.
Precisely, we also know well what it is to be a mother.
It is as the aesthetic shock when one has passed through it: one does not think, does not act, does not talk, does not breathe any more in the same manner.
The unforgettable experience provides memory to remember that one no longer counts in the same way: one learns how to count further than ONE.
And here, not being mistaken, we are FOUR already. ARMAN went further and opened his two hands to count to SIX CHILDREN and none to be lost in a lapse of memory.
There remains a question raised in the article relating to our “… attitude whereas our lawyers were willing to reach an agreement?”.
Here we have a second “scoop”! In face of the depth of the disagreement between us, it is hard to see what is meant here?
An evoked possible “signature” must refer to what should have occurred this last October 31?
This supposed deadline for the French succession when, to make a long story short and respect the reserve in which I have to remain regarding the movements with the “acts” under oath, we were requested to come and sign without the documents nor the time to read
Under such circumstances, we wouldn't even have been given the eight days normally granted to retract…
Some funny proceedings, don't you think? It must be customary to proceed like that considering what we have drawn from the investigations on the way the documents to govern our destiny were established on the other side of the Atlantic.
Then I wonder whether this “rendez-vous to get along” evoked in the article of the NICE-MATIN newspaper refers to this mandatory convocation for signature?
Since I do not see other "proposals". Could this be the unilateral way previewed to enter into a transaction?
The called duty to preserve secrecy on all of this allows me to preserve the elegance that ARMAN liked in human relationship, this elegance that lacks badly in the sort of power struggle on display purporting to go as far as imposing constraint on us.
la vie
(Yves Arman and his daughter Madison Arman)
But is it all going to reshape since conciliation is historically announced? Technology imposes: one no longer needs to learn how to count with fingers, the abacus to adjust the accounts is not required anymore and today the computer keys give the magic of the result.
Thus in chronological order: Marion + Anne + Madison + Yves = FOUR.
On your marks: there are not only two ugly ones who want to bump the stepmother off.
Our story is not a fairy tale.
Just an account of facts: we are FOUR to refuse to believe that
ARMAN was unable to count anymore.


To next Saturday

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